“¡Le vent se lève! . . . il faut tenter de vivre!
L’air inmensa ouvre et referme mon livre,
La vague en poudre ose jaillir des rocs!
¡Envolez-vous, páginas tout éblouies!
Rompez, vagos! Rompez d’eaux réjouies
Ce toit tranquille où picoraient des focs! »
Paul Valéry,
Le cimetière marin / El cementerio marino